A l’heure où nous prenons(presque) tous conscience de l’impact de l’humanité sur l’environnement, où le réchauffement climatique se précise et où l’effet de polluants divers préoccupe quant à notre santé et notre avenir, nous trouvons de plus en plus de personnes, et j’en fait partie qui essayent de vivre plus respectueusement des limites et contraintes. Il s’agit de consommer moins, mieux, plus durable, plus proche de chez soi, moins emballé,…

J’ai diminué ma consommation de viande et augmenté la part des légumineuses sur notre table. J’essaye de manger des légumes de Suisse, et ceux de mon jardin. Pour les fruits cela devient un peu plus corsé. A part les pommes et poires indigènes,gardées en atmosphère contrôlée par la grande distribution, il y a les agrumes(européens) et les kiwis, en principe j’essaye d’éviter les néo-zélandais. J’achète ces fruits en vrac…mais parfois en barquette(plastique=le mal), car dans les bacs du magasin ils finissent entièrement marqués par les ongles des autres consommateurs(sale manie de presser sur les fruits pour voir s’ils sont mûrs?)

Près de chez moi, il y a un importateur de fruits qui vend aussi des exotiques, en gros. Mais il ouvre à la vente de 2e choix quelques heures par semaine, pour un prix bas. Ces 2e choix sinon finiraient à la benne. Ce sont des fruits qui n’ont souvent pas d’autre défaut que d’être trop petits ou trop gros, ou alors une petite « rature » sur la peau. J’en achète parfois, est-ce bien, est-ce mal?

Nous avons une voiture que nous utilisons peu. Pour la plupart de nos courses et déplacements, nous allons à pied ou a vélo. Mais parfois, la voiture nous est utile quand même.

Nous avons complètement explosé notre bilan écologique en passant quelques années au Laos, même si c’était pour une bonne cause. Mais avec un séjour annuel en Suisse durant cette période, cela fait quand même bien des vols.

Quand je regarde nos déchets, j’y vois encore beaucoup de plastique d’emballage. J’essaye d’éviter mais même pour acheter 3 clous, ou des aiguilles à coudre on y a droit.

Article décousu et en vrac juste pour dire qu’il est difficile d’être entièrement cohérent dans une démarche de transition, mais que si chacun s’y emploie, on verra du mieux!