Bien que nous n’ayons pas d’animal domestique, il y en a quelques uns qui squattent notre jardin et y prennent leurs aises. A eux le siège le plus confortable, la terre fraîchement remuée, l’ombre la plus épaisse au milieu du jour et la bruyante guérilla urbaine qu’ils livrent aux collègues du voisinage la nuit.

Je ne leur donne jamais à manger et il m’arrive de  leur tirer un caillou s’ils exagèrent. Rien n’empêche qu’ils considèrent notre jardin comme le leur!