Thadindeng à vélo (suite)Dans le village juste de l’autre côté de la rivière, un battoir à riz, et sur la photo le tas de balle de riz où les poules cherchent le petit grain égaré. Le riz ici est encore cultivé et récolté de manière manuelle. la plupart des rizières sont encore en attende des pluies pour être plantées, mais près de la rivière des champs sont irrigués, permettant

Thadindeng à vélo (suite)de produire du riz entre saison. Quand les rizières sont vides, ce sont les vaches et buffles qui les occupent et fertilisent le sol. Ces vaches ont des cloches en bois ou en métal autour du cou, pour nous cela faisait très Jura. Souvent une dame les surveille, abritée dans une petite cabane au toit de feuilles. J’ai échangé quelques mots avec l’une d’elles.

Thadindeng à vélo (suite)Nous suivions une route, qui est devenue un joli chemin, puis un sntier entre les arbres, mais quand même avec encore de rassurantes traces de motos. Arrivés à une petite rivière, suspense: y aurait-il un pont? Voilà oui, on pouvait passer, heureusement, c’était un jour sec!

 

Thadindeng à vélo (suite)Un petit lac de barrage, pour stocker de l’eau quand il pleut. Les champs sont en contrebas de l’autre côté du chemin. Nous avons vu peu de monde sur cette route, juste un monsieur à moto plus tout jeune à un carrefour qui nous a signalé qu’il y avait des filles dans un village à côté. Devant notre air interloqué, il a même pris la peine de nous le répéter en précisant « filles » en français. Triste réalité, je pense que malheureusement, il y a des gens de nos âges qui cherchent ce genre de rencontres. Vu notre manque d’intérêt, on a causé un peu itinéraire, puis on est partis.