« S’il pleut à la St-Médard(8 juin), il pleut encore 40 jours plus tard…«
Un de ces proverbes météo du temps jadis, qui découle quand même des observations des anciens. Il arrive certaines années que l’on peine en juin à sortir d’un temps humide et pluvieux, et cela peut durer. Dans mes souvenirs, l’année 1980, année de notre mariage, où je dus emprunter un joli châle blanc pour couvrir mes épaules le 12 juillet. Ou encore l’année 1987, où enceinte pour le mois d’août, je n’ai jamais eu trop chaud avant la naissance. Plus près de nous, il me semble que l’été 2021 a aussi été assez arrosé dans ses débuts. Cela arrive donc parfois, et éprouve les agriculteurs et les jardiniers.
Dans mon jardin, certaines cultures supportent mieux que d’autres: les pois mangetout, les fèves et…les fraises, bien qu’il y ait dans celles-ci un peu de pertes par pourriture.
L’autre côté du jardin,voir post précédent pour le 1er côté
Les fèves dont les cosses sont cachées dans l’abondant feuillage
Fèves, la récolte à écosser. J’ai découvert cette année que les cosses sont parfaitement comestibles quand elles sont assez jeunes. A traiter très rapidement car sinon elles oxydent et deviennent toutes noires.
Et un petit bouquet fluo pour illuminer ce jour gris.(oeillets de poète, chrysanthèmes et fleurs de persil)




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