Au Laos, pour quoi faire?

En pré-retraite, offrir nos compétences et notre expérience au soutien de personnes moins favorisées que nous. Pour mon conjoint, ce sera un soutien administratif et informatique au bureau de cette ONG

Pour moi, les choses sont encore à définir plus précisément. Je me laisse le temps d’atterrir, d’acquérir les rudiments de la langue et de m’habituer à la vie sur place.

Au Laos, pour quoi faire? 

 

Petit jardin potager dans un village visité par l’ONG. Ces cultures sont encouragées pour favoriser une diversification alimentaire.

 


Pour vivre une transition et partager une tranche de vie

Voilà, dans six à huit mois, nous serons partis au Laos, et il est temps de mettre en place les moyens de garder contact.

Pour le moment, j’essaye juste de me familiariser avec ce blog, et la geekerie, ça prend du temps.

La photo de l’en-tête a été prise à Vientiane en mars, et c’est le Mékong tel qu’il était alors, en basses eaux au coeur de la saison sèche. Ce que l’on ne voit pas sur la photo, c’est la largeur du lit de la rivière, et les petits jardins cultivés dans le lit du fleuve en cette saison. On ne perçoit pas non-plus la température qui s’élevait je pense à 35°C.